L’intimidateur s’acharne sur sa victime. Les gestes peuvent être faits dans différents contextes : classe, corridor, autobus scolaire, etc.
Types de déséquilibres possibles :
Du nombre (plusieurs contre un)
Verbal (l’intimidateur est plus habile verbalement que la victime)
Social (l’intimidateur est plus accepté, plus populaire et certains approuvent son comportement, alors qu’à l'inverse la victime est plus isolée)
Physique
L’intimidateur retire du plaisir, tandis que la victime vit de la peur, de la honte, etc.
L’intimidateur et ses complices sont conscients que les gestes sont blessants.
Faire des menaces voilées : « tu vas y goûter », « tu vas voir... », « il/elle va y goûter», « fais attention à toi... », « qu'il/elle fasse attention à lui/elle », « qu'il/elle protège ses arrières », « promène-toi pas seule », etc.
Faire des menaces non-verbales : dessin de violence montré, présenté ou rendu visible pour une ou des personnes, mimer un fusil, un pistolet, mimer un couteau sous la gorge ou toute autre partie du corps, montrer le poing, articuler des mots de menace ou d'impolitesse, rédiger une menace écrite ou toute autre situation jugée comme une menace envers un élève, un employé ou un visiteur.
Faire de la cyberintimidation : La cyberintimidation, c'est le fait de harceler une personne ou de tenir à son endroit des propos menaçants, haineux, injurieux ou dégradants, qu'ils soient illustrés ou écrits, et ce, via un média électronique (ex : Facebook, Twitter, message texte, etc.).
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